DIMANCHE 1er DÉCEMBRE 2024
16h
ENTRÉE LIBRE
PROGRAMME
Franz Liszt (1811 - 1886)
Consolation n°3
Frédéric Chopin (1810 - 1849)
Sonate pour piano n°2 "Marche funèbre", Op. 35
1. Grave - Doppio movimento
2. Scherzo
3. Marche
Finale : presto
ENTRACTE
Franz Schubert (1797-1828)
Sonate en si bémol majeur, D. 960
Molto moderato
Andante sostenuto
Scherzo : Allegro vivace con delicatezza
Allegro, ma non troppo
BIOGRAPHIE
Herbert du Plessis, piano
Après avoir étudié avec le maître renommé Pierre Sancan, le pianiste Herbert du Plessis passe plusieurs années en Angleterre, où il remporte le Premier Prix de la Royal Academy of Music.
Soucieux de ne pas se limiter aux seules prouesses de virtuosité, il poursuit simultanément ses études pianistiques auprès du grand lisztien Louis Kentner à Londres et la préparation d’une maîtrise en musicologie à la prestigieuse Université d’Oxford, où il lui est décerné le rarissime Diplôme d’honneur de Première classe.
De retour en France, il est invité par l’immense virtuose Georges Cziffra à se perfectionner auprès de lui, en Hongrie et à Senlis. Devenu lauréat de la Fondation Cziffra, Herbert du Plessis a le privilège de parfaire sa conception de la musique romantique dans la proximité de cet inoubliable interprète de Franz Liszt. De par la volonté du maître disparu, Herbert du Plessis a siégé longtemps au conseil d’administration et au comité artistique de la Fondation Cziffra.
Les concerts d’Herbert du Plessis sont toujours accueillis avec enthousiasme par le public ainsi que par la presse. Ainsi il se voit invité à des festivals ou des émissions de radio en Belgique, en Suisse, en Allemagne, en Italie, en Pologne et en Hongrie. En 2012, les invitations l'ont mené jusqu'en Australie et au Brésil. À la mythique salle du Wigmore Hall de Londres, il joue à guichet fermé, ce qui est également le cas lorsque le chef d’orchestre Laurent Petitgirard l’invite à se produire avec l’Orchestre Symphonique Français à l’Opéra-Comique, ou encore quand Pierre Cardin lui ouvre les portes de l’Espace Cardin sur les Champs-Élysées.
Herbert du Plessis fut pendant plusieurs années Président d’honneur du Festival Liszt en Provence, et a donné le récital inaugural du Festival de Richelieu en 2007. À Paris, il a joué à la Salle Gaveau, au Théâtre des Champs-Élysées, à l’Auditorium des Halles, au Musée d’Orsay. France-Musiques lui a consacré une émission d’une heure et demie.
Herbert du Plessis est un des très rares pianistes au monde à avoir donné en public l’œuvre entière de Chopin, répartie en dix récitals, exploit qu’il a accompli trois fois à Paris, et aussi à Londres à l’invitation de la Chopin Society.
Récompensé par le Grand-Prix de la Nouvelle Académie du Disque, Herbert du Plessis a consacré des enregistrements à Liszt, Chopin et Schumann ; un double album, consacré aux vingt-quatre Études et aux vingt-quatre Préludes de Chopin, sera enregistré au printemps de 2023 et paraîtra au début de 2024…
« À propos d’Herbert du Plessis, nous pourrions titrer : Chapeaux bas, Messieurs : un Musicien ! » - Jeannine Hauchard dans CultureMag, mai 2010
« Herbert du Plessis possède une maîtrise expressive du clavier réellement stupéfiante » - Frédéric Gaussin sur jejouedupiano.com, novembre 2021
L’intégrale Chopin d'Herbert du Plessis, donnée à Paris, a suscité un large intérêt médiatique. Le raffinement, un grand sens de la courbe et de la ligne, et une pudeur expressive gorgée de sensibilité et de passion contrôlée caractérisent sa conception. - La revue Piano
Herbert du Plessis interprétait Chopin et Liszt, compositeurs romantiques par excellence. Elève de Louis Kentner et de Georges Cziffra, Herbert du Plessis se meut dans cet univers avec une aisance confondante… il a donné la Berceuse de Chopin avec une subtilité infinie, dans une totale décontraction : un sublime moment d’émotion. - Jean-Luc Perrot, après un concert à Saint-Étienne
Aussi sensible qu’intelligent, doté d’un superbe toucher, d’une technique souveraine, d’un goût infaillible, Herbert du Plessis est un artiste admirable… les redoutables Variations de Brahms sur un thème de Paganini (l’un des morceaux les plus difficiles de tout le répertoire pour piano) étaient une grande démonstration de maîtrise du clavier, devant laquelle on ne pouvait que s’incliner… Du très, très grand piano. - La Revue des Deux Mondes, lors d'un passage à la Salle Gaveau
La franchise et la transparence de son toucher lumineux, les couleurs variées dont il pare son jeu, le parfait équilibre entre le cœur et le sens architectural, l’abattage dont il peut faire preuve : on est totalement comblé et ébloui. - Le magazine Diapason, à la parution de son premier enregistrement d’œuvres de Liszt
Comments